mercredi 28 juin 2006

S'IL N'EN RESTE QU'UN... 6ème Cyclosophale, solo

De maladie en convalescence, de la lumière à l’ombre du travail, de défections en défections, d’immigration de la ligne de partage des eaux en investissement des vallées et chaumières amicales, ce fut seul que je m’installai, tel un moïse en d’autres contrées, sur le tranchant du second tronçon français de la ligne de partage des eaux atlantico-méditerranéenne.

Une palanquée de BPF et de cols, un accueil chaleureux des hôteliers démunis et des randonneuses esseulées, une météo clémente en firent une semaine inoubliable malgré l’évanescence de la confrérie cyclosophique. S’il n’en reste qu’un…

dimanche 18 juin 2006

De folles journées

Enfin presque, car c'est qui s'en passe sur ce blog du boulingrin, y'en a un peu à moudre, verte ou très mûre, la vie et son cycle quoi, les roues tournent... Chacun dans leur sens, qui qui s'y colle des cent cols à la colle et se hausser du col en haut de l'affiche, qui s'étape du tour qui s'épate d'un tour et patatra le scaphoïde aux arrêts, basse cour et tour à vau l'eau d'agrégé, qui se refait la cerise d'une valve à rustine pour un coeur gros comme ça, qui fait l'accordéon et pas l'élastique en kletsmer gitan sans filtre, qui prend sa photo pour une lanterne avec vessie toute neuve et vue sur le net, qui s'enamourre pour une cycliste quevillaise, qui plus cyclo que démon, qui plus coureur que jupon, qui plus planteur que coureur, qui...et qui encore ? trois fois Aulas... Qui, que, quoi, donc, où ? une devise de cyclosophie absconce, obtue... pour une folle journée : taper 1, pour journée normale : taper 2 E.Pancarte