vendredi 9 novembre 2007
Quelques conseils pour la saison prochaine !
mercredi 10 octobre 2007
La vie de l'amas
mardi 9 octobre 2007
Avec plein de points c'est cool
La petite viking 2007


mardi 11 septembre 2007
Rouen-Renazé. La 6ème Folle Journée.




dimanche 9 septembre 2007
4, 5, 6. Fin de la 7ème cyclosophale



Dernière étape, il faut une ponctuation, en
tout.
De la descente sur 150km. Ivresse de rouler, dérouler, enrouler.
Peu d’ascensions. Vallée de l’Aude. Escapade à Quérigut. Retrouvailles avec l’Aude à Escouloubre. Gorges de St-Georges. Défilé de Pierre-Lys. A Limoux, la petite route pour St Hilaire (BPF) me fait découvrir, en outre, deux cols. A St Hilaire, on vide le débit de boissons. Du soleil et de la chaleur à gogo, le bonheur est sur le vélo. Carcassonne, c’est Freddo qui nous retrouve, pile-poil, et nous emmène chez sa sœur.
156km, 1425m de dénivelée et 6 cols, quand même.
Un petit tour dans les murailles de Carcassonne, retour mitigé à la vie ordinaire dans une belle architecture dépouillée, pourtant polluée par les marchands du temple.
Accepter que ce soit fini n’est pas si simple, heureusement que d’autres investissements nous appellent comme le plaisir de retrouver sa chère et tendre.
Au bilan cycliste, 901km, 14720m de dénivelée, 55 cols et 7 BPF.
Plaisir des chiffres, du glaneur de cols mais ce n’est qu’un épiphénomène. L’agalma qui met en branle. L’essentiel est le plaisir du vélo, la liberté de se mouvoir dans un monde, une branloire pérenne (Montaigne), au plus loin de l’appât brutal du gain, des illusions de prestance et des billevesées de l’agitation.
Toujours, même au cœur du plus épais brouillard, existe une route et un appel à l’utopie, à l’uchronie. Qui existent, nous les avons décrites sous les tours et détours de nos roues. Et paradoxalement, sur le vélo, c’est toujours le plaisir d’être là, en mouvement, qui en marque l’essence comme la nécessité. Un être-là dans une autre temporalité, un être-là et pourtant en mouvement.
Hi-Min
mardi 17 juillet 2007
1, 2, 3... la 7ème de Min en mines
2. La seconde journée n’en est que plus époustouflante. De l’Homme-aux-loups, on prend directement le col des Parties qui nous mène tout droit au col de Foun et de Des-bez. On n’a pas la Berlou quand on monte à la Treille pour se refaire la Fraise. On ne prend pas racine à PousseLières, nous fonçons sur Pardaillan pour monter sec le col, Très Molis, alors que Copujol nous réclame.
On se la Coulouma droit sur Minerve sans échapper ensuite au RieuSec avant de Ferailler les Montagnes. On se relance au col de Béson, passons Sales puis grimpons la Salette qui nous met K.O avec sa Croix de Sous. Escandelle, nous terminons à Pradelles-Cabardès à la tombée de la brume et du jour éreintés par ces 150 km et ces dénivelées de parties et de foufoun, de bèzes et de copulations, à sec et amollis – 3400 m.
3. Dès le lendemain matin, dans le froid et les gouttelettes, on se Tap le portail de Nore pour redescendre au col de la Prude juste avant de plonger vers le gouffre qui se Cabrespine. Alors, on retrouve Laure mais pas tout de suite son Mont car nous devons d’abord franchir la montagne d’Alaric et son col du Fer à cheval.
Du Mont de Laure en Ribaude, c’est Lagrasse. Un bon repas et on se traîne dans les Champs et les Puits avant de parvenir aux Termes. Avant de se Soulatgé, on doit en passer par la Cascagne sans trop de Massac, pour atteindre notre Duilhac. C’est la plus courte étape, 130 km et une faible dénivelée, 1820m.
lundi 16 juillet 2007
La 6ème semaine cyclosophique, hihihihihihi !
mercredi 16 mai 2007
Dénivelée et repentance
mardi 15 mai 2007
Un pétrel fait l'printemps de la cyclosophie
Chers vous,
Les cyclosophes sont-ils sur la mauvaise pente ? C'est là question qui se pose ces temps ci au sein des pelotons, depuis le Boulingrin jusqu'à Bois-Guillaume en passant par la Lorraine et l'Hérault !
Des départs à pas d'heure sur aucun boulingrin avec qui veut quand j'veux et où j'veux ! Y aurait-y perdu la foi ? C'est pas faute de relire la Bible, Claudel, Fournel, Hégel, Fernandel et Miguel, bon enfin ! Samedi dernier néammoins nous avons eu avec Dédé et Descul l'occasion d'une authentique rencontre cyclosophique, juste devant la statue de Joseph Locke au pied du viaduc qu'il a construit à Barentin : un cyclophile nous hèle devant son jardin et nous demande tout de go si on connaît les frères Pétrel, des bons coureurs du coin, ses neveux ! Devant notre confusion de coursier iconoclaste du dimanche, après nous avoir glissé que, bon coureur régional, il a courru jadis avec Jean-Claude Lebaube et Raymond Delisle, il se lance dans le récit de la première étape du Tour du Morbihan 1964. Il n'était que remplaçant, mais en bout de file près de l'arrivée et bien calé dans les roues, il se jette en avant à 300 mètres de la ligne et coiffe les meilleurs à la surprise générale! Ahah ! C'est tout juste si plus de 40 ans plus tard il ne lève les bras et le bouquet du vainqueur. Il s'appelle Pétrel, Jean-Pierre Pétrel, il a aujourd'hui 69 ans, a connu Djamel Rebiai, mais ne peut plus faire de vélo à cause de sa jambe. Alors maintenant il faitson jardin, des fleurs et des bouquets : " Eh les gars ! aux beaux jours faut r'passer, vous verrez les fleurs, les bouquets, c'est que'que chose !"
Eddy Pancarte
Au programme à venir (très religieux comme le XXIe siècle qui le sera ou pas ?) :
Ascension : Rouen-Honfleur et retour pour les chroniques nomades et photographiques
Pentecôte : Rouen-Fort Mahon, et retour le lundi, traversée de baie, moule frites
Semaine cyclosophique ( retraite de communion et communion solennelle dans la foulée) du Dimanche 17 juin au samedi 23 juin, Parcours Limoges- Toulouse = proposition Hubert.
Notre Sein Patte-Rond


Esteville, haut lieu chargé d’histoire. Il hébergea Hercule, duc de Ferrare et mari de Renée de France, laquelle donna asile au chiffonnier Clément Marot et rencontra Jean Calvin, alors voilé sous le pseudo de Jean d’Espeville.
Marot sur le baudet, haro sur le lascar et tous nous finirons à Este
